Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait de nouvel « Focus on« . Je crois bien que le dernier date du 22 octobre avec Metropia. Et aujourd’hui, je m’y remets avec Boogie, el aceitoso. Et cette fois-ci je suis à deux doigts de mettre un accord parental souhaitable quand même… Et comme j’ai quand même quelques jeunes qui lisent le blog, je vais mettre un « Lire la suite » juste ici. Wouhou, quel suspens insoutenable.
Sérieusement, ce qui suit peut heurter la sensibilité des plus jeunes et n’est en aucun cas conseiller aux moins de 16 ans. Si vous cliquez sur « Lire la suite » c’est que vous êtes en accord avec la précédente phrase et je ne suis en aucun cas responsable de vos actes.
Ami(e)s de plus de 16 ans et passionnés de cinéma d’animation je vous présente aujourd’hui Boogie, el aceitoso, un film d’animation 2D espagnol qui sort carrément du lot. Et pour cause, l’extrême violence de ces images en fait un marginal. Réaliser par Gustavo Cova, écrit par Roberto Fantanarrosa et Marcelo Paez-cubells, Boogie, el aceitoso raconte l’histoire de…
Boogie une grosse brute, cigarette à la bouche et énorme arsenal sous le manteau, a une vision déformée de la loi. Peu sympathique et hors contact avec la réalité, Boogie est un sexiste, un violent raciste, l’assassin le plus craint de toute la ville et partout ou il passe il laisse des marres de sang…
C’est sur ce synopsis qui en dit long sur le scénario du film qu’Illusion Studio, l’équipe en charge du développement, s’est basée. Voici ci-dessous la bande annonce espagnole sous-titrée anglaise.
Boogie, el aceitoso est déjà sortit en Argentine le 22 octobre 2009. La France n’as pas encore de date. La question que je me pose cependant est plus de ce genre : va t-il être distribuer en France vu son niveau de violence? La France, ce beau pays ou les gens crient au scandale dès qu’un peu de sang apparaît… N’est-ce pas Carl Fredericksen?
Le site officiel du film.
13 comments On Focus on : « Boogie, el aceitoso ».
Voilà un « focus on » qui va surement faire réagir tes lecteurs, c’est vrai qu’il sagit d’une oeuvre qu’on hésite à présenter de part les scènes de fusillades fréquentes. On est dans un registre assez particulier !! :roll:
Fréquentes? J’aurais dit ininterrompues moi :mrgreen:
Boaf… le film ne vaut même pas le coup d’une sortie française. En compétition à Annecy l’an dernier, je l’avais vu et chroniqué à cette occasion. En résumé un fil mal ficelé, gratuitement hyperviolent, mais même pas drôle…
+
c
Ça, c’est un peu ce qui me trottait dans la tête à la vue de ce trailer. Donc merci à toi de le confirmer !
Dit, au passage, je pense que tu seras bien évidemment à Annecy cette année aussi. Tu sais que je vais te demander (et te harceler si tu dis non) si on peut se rencontrer hein?!? :mrgreen:
:)
A priori, je dis bien à priori, je ne serais pas de la fête cette année, ou alors juste sur les derniers jours. Mais se rencontrer, pourquoi pas, même avant Annecy si tu veux.
Ce qui est bien avec Annecy, c’est que l’on sera tous au même endroit au même moment. Hors Annecy, je ne sais pas si ça va être possible. Tu es d’ou toi?
Lille…
Oula oui t’es carrément « à l’ouest » :mrgreen:
On a bien « Happy Tree Friends » ! :D
Mais il y’a un autre long métrage sur le jeu vidéo « Dante’s Inferno » qui va sortir… On ne sait pas si il sera distribué en France mais il y’a certaines rumeur qu’il serait avec le jeu en packaging.
C’est tout aussi violent rien que de voir le trailer dispo chez lyricis.
Mais y’a eu quelque chose sur la trace de sang dans « Là-Haut » Y’a eu une polémique ? :(
Une polémique oui et non. Disons que certaines personnes se sont insurgées de voir du sang dans un film d’animation. Rien de bien méchant mais tellement lourd…
XD C’etait une bosse.
Pis la c’est pour montrer le sentiment que ça provoque. Bien afficher la faute. Il lui a pas ouvert le crâne non plus ! U_u
C’est de l’hyper-violence « gratuite » on comprend pas trop d’où il sort ce gros monsieur à tirer partout. Un genre de duke nukem à l’espagnol ? Un peu j’trouve… Bref ça m’a fait assez bizarre au niveau du scénario même si j’aime bien le traité de l’image en lui même.